Game Design : Tomb Builder

Deuxième jeu en cours de design : Tomb Builder

Ici, un prototype doit encore être fait mais comme ce n’est qu’un jeu de cartes, je trouve plus compliqué à faire. Donc si quelqu’un a un truc pour faire ça plus facilement (comment designer les cartes de façon basique, imprimer, puis sleever ?)

Les idées : les joueurs incarnent des scribes mandatés par Pharaon pour construire les plus belles tombes, esthétiques et fonctionnelles.
Chaque joueur commence avec une entrée et une main de 6  cartes « Scribe » pourtant chacun une lettre et chacun leur tour ils devront former des mots pour pouvoir construire salles et tunnels dans leur tombe, sachant que chaque salle doit être séparés par un tunnel. Pour construire une salle, le scribe doit former un mot d’un minimum de lettres en fonction de la puissance de l’effet de la salle.
Chaque lettre rentre dans un catégorie de matériaux qui rapportent un certain nombre de points en fonction de leur rareté dans le deck de cartes.

• E : 1 points : Gravats
• S, A , I, R, T, N  : 2 points : Pierre
• L, O : 3 points : Bois
• D, C, P, M : Argent
• V, G, H, Q, F, B : Or
• J, X, Y, Z, W, K : Electrum

On trouve différente salles comme :

• Salle de trésor : Cette salle selon sa taille peut contenir une ou plusieurs lettres qui rapporteront des points en fin. Plus la salle est grande plus le mot pour la construire doit avoir de lettre. En gros, elle permet de virer des lettres encombrantes comme X, Y, Z qui pourront quand même rapporter des points
• Chapelle funéraire : Donne un bonus de points lors de sa construction.
• Passage secret : Après sa construction, elle permet selon sa puissance de récupérer une  ou plusieurs cartes Scribe au moment de refaire sa main
• Autel aux dieux : Lorsqu’elle est construite, elle permet de récupérer des cartes du dessus de la défausse en les échangeant avec des cartes de sa main
• Salle piégée : Lorsqu’elle est construite, cette salle oblige vos adversaires à se défausser d’un ou plusieurs cartes de leur main au hasard.
• Tunnels : Au moins un tunnel est nécessaire pour relier deux salles différentes entre elle. Un mot de minimum deux lettres doit être formé pour construire un tunnel.

Les joueurs devront également faire attention lors de la construction de leur tombe quand ils placeront devant eux les différentes salles et tunnels car des cartes bonus « Esthétique » donnant des points en plus en fonction de l’apparence extérieure.

Game Design : Masters Of Horror

J ai craqué et me suis lancé dans la création de jeux de société, hélas comme pour la musique, j’ai un peu du mal à arriver à la fin de mes idées. Les idées sont là, les mécanismes sont mis en place mais j ai du mal à prendre du temps pour les tester, les éprouver. Donc pour me forcer à avancer, essayer de me mettre un peu de pression. Je vais en parler sur ce blog, lira qui le lira mais j’espère que cela me donnera un petit coup de pouce car au fond de moi, j’ai vraiment un besoin de créer depuis que je ne fais plus beaucoup de musique.

Je vais vous présenter mes designs un par un :

C’est le jeu dans l’état le plus avancé et également le design le plus ancien. Il a pour nom actuellement  « Masters Of Horror » car il raconte l histoire de 4 maîtres fantômes qui vivaient tous ensemble dans un grand manoir et ils le voulaient tous pour eux seuls.
Pour se départager, ils organisèrent un concours : effrayé le plus d’habitants du village voisin après avoir fait courir, grâce à leurs pouvoirs magiques, des rumeurs qu’un trésor fabuleux se trouvait dans leur manoir.

Chaque villageois a une couleur qui correspond à un maître de l’horreur car il est effrayé plus particulièrement par tout ce que représente ce maître (rouge pour horreur « gore », bleu pour la terreur angoissante, jaune pour les phobies et vert pour je ne sais pas encore 🙂 ).  Chaque maître possède ses propres serviteurs fantômes pour accomplir les basses besognes sachant qu’ils ne peuvent en faire qu’une par tour pour toutes celles-ci :

• Soit piéger une pièce de la maison sachant que le coût de l’action dépend de la proximité des entrées du manoir.
• Récupérer de l énergie ectoplasmique dans une des pièces dédiées cela dans la maison.
• Se placer dans une pièce pour attirer les villageois lors de la phase « villageois ».
• Si un ou des villageois se trouvent sur une pièce piégée à sa couleur, un des serviteurs fantômes de la même couleur peut les effrayer.

Un deck de cartes existe pour montrer quel villageois vont entrer par les entrées.
Chaque début de tour, on pioche une carte pour chaque entrée du manoir et on place les villageois correspondants sur l’entrée.
Lors de la phase villageois, chacun son tour, dans l’ordre inverse du tour, chaque maître pourra attirer un groupe de villageois sur une case où se trouve un de ses fantômes qui se trouve dans la même ligne ou colonne.

Il existe un pièce spéciale au centre du manoir qui est le cœur de la peur où n importe quel maître peut faire peur à des villageois sans devoir la piégée au préalable,
Il existe aussi un type bien précis de villageois, les exorcistes qui détruisent les salles piégés par lesquels ils passent.

A continuer, à repréciser et à retester.

Alien Menace – Hazgaard édition

Je suis le Major Scott, l’un des marines de l’espace les plus décorés de la Fédération et j’ai été envoyé en tant que chef de la sécurité sur la base Omega, mais suite à une expérience qui a mal tourné et des démons sont passés par un portail et on massacré tout le personnel de la base. Une seule alternative pour moi, fermer la portail avant que trop de monstres le passe.  J’ai vérifié mon équipement, mon indicateur cardiaque et mes quelques pilules d’adrénaline.

Pendant ce temps, les monstres proches de moi se regroupaient pour pouvoir mieux me tomber dessus.

Sitôt mon équipement vérifié, j’ai ouvert la porte vers la première salle, il s’agissait d’un simple sas donnant vers deux autres salles, le hall central ou les turbines. Ne préférant pas m’exposer dans une trop grande salle comme le hall central, je me dirigeais vers la salle des turbines, plus petite.

En entrant dans le salle, je tombe sur des munitions pour fusil à pompe et pour désintégrateur, ce qui m’aidera pour les monstres puissants et les petits sous-fifres qu’ils utilisent comme chair à canon.

D’ailleurs, j’aperçu du coin de l’œil, des formes qui se mouvaient dans l’ombre.

Un cri effroyable résonna dans la pièce et j’y réagis plus que ce que je voulais.

Mais je me calmais rapidement car j’avais sur moi un drone de reconnaissance et je l’envoyais explorer la pièce, ce qui me rassura sur ce que j’allais devoir affronter.

Une démonesse sortait d’ailleurs de l’ombre pour me tomber dessus.

mais je la réduisais en morceaux rapidement grâce à mon lance roquette

Derrière les morceaux éparpillés de la démonesse, un démon apparut et m’attaqua, énervé par la mort de la femelle

En deux secondes, je dégainais mon fusil à pompe et tirait une charge sur la bête.

mais je n’avais pas vu que la bête possédait des aiguillons empoisonnés qui arrêtèrent l’impact et il m’écorcha sévèrement avec, avant que je puisse fuir.

J’étais un mauvais état mais la fuite m’avait donné l’occasion de voir ce qui m’attendait comme salles et j’eu la chance de voir que l’infirmie était juste à coté. J’allais pouvoir me soigner rapidement !

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On est ici dans un jeu inspiré par les jeux vidéos et plus particulièrement les FPS comme doom ou quake (d’ailleurs, j’ai pris l habitude de mettre la bande son de Quake 2 lors des parties que j’ai pu jouer.) et il faut avouer qu’on entre facilement dans l’ambiance et on s amuse à faire les bruits des armes ou des aliens qui approche. Il faut avouer aussi que le jeu est plus stressant pour le joueur marine que pour le joueur alien et cela rajoute encore au thème.

Dans chaque salle parcourue par le marine, l’alien pourra placer un nombre de monstres que le marine devra affronter les uns après les autres grâce à une seule arme et autant de cartes actions qui boostera sa force qu’il voudra. Chaque camp a aussi un certain nombre de jetons à lancer façon pile ou face, si ceux tombent sur la bonne face, il  donne +1 à la force. Chaque camp a son propre deck et doit faire en sorte d’avoir les bonnes cartes et son adversaire non.

Ici on est dans le petit jeu même si il y a 3 decks différent, on ajoute les jetons de points de vie et de pile ou face. Le tout est de bonne qualité mais comme dans tout jeux de cartes, je conseillerais de les sleever.

Alien Menace est un jeu d’affrontement donc forcément le meilleur moyen de gagner, c’est de faire des coups vaches à l autre joueur et le désarçonner. C’est également un jeu aux règles assez facile donc vous pourriez sûrement convaincre un ami fan de jeu vidéo privé de console, d’y jouer.

Maintenant, si vous êtes intéressé par ce jeu, voici la mauvaise nouvelle : l’éditeur ayant fermé, il est difficile à trouver mais il est toujours possible de le retrouver en déstockage. Dommage car il s’agit d un bon petit jeu pour 2 joueurs dans un thème pas si courant.

Zombie Kidz – Le scorpion masqué

Quand j’ai vu les enfants bavés sur le plateau lors de nos parties de Zombicide et comme j’avais vu le trailer d’un nouveau jeu de l’éditeur « Le Scorpion Masqué » sur youtube qui avait l’air pas mal pour les enfants, comme ça ceux-ci aurient le propre jeu de zombies adapté à eux.

Pour la petite histoire, des enfants ont découvert que des zombies ont envahis le cimetière voisin mais les adultes n’ont pas voulu les croire donc à eux de repousser l’invasion.
Comment ? en formant les 4 portails du cimetière ou en faisant en sorte qu’aucun zombie ne se trouve plus sur le plateau de jeu.

La mécanique basé sur la coopération (faut être deux pour fermer un portail) et les déplacements opportunistes est simple et les enfants s »y font assez vite malgré quelques erreurs de stratégie mais bon même si on se fait battre par le jeu, on y retourne directement 🙂
Les parties s’enchainent rapidement (+- 10 minutes par partie à 3), le plus grand (8 ans) aide le plus petit (4 ans) pour la stratégie et ils s’en sortent sans que je doive vraiment les aider.

Niveau matériel tout est en carton (mais bon pour moins de 15 €), le plateau assez petit est renversible pour jouer soit 2 joueurs soit 3-4 joueurs. Les illustrations se pas mal et bien dans le thème, avec des zombies qu’on dirait sortis de dessins animés (ParaNorman ou Noces Funèbres par ex.)

Zombie kidz est un petit jeu simple mais efficace, il ne présente pas de réel intérêt pour les grands mais les petits seront content d’avoir leur propre jeu avec des zombies. En tout cas, les miens demandent souvent à y jouer pour le moment.

Le site du Scorpion masqué

Zombicide Saison 1 – Guillotine games

J’avoue que j’avais un léger à proiri avec Zombicide qui est un peu devenu le jeu de plateau de zombies de référence après plusieurs kickstarter menés tambour battant par CoolMiniOrNot. Le jeu et ses divers extensions ont été divisés en plusieurs saisons comme une série télévisée (chaque saison étant un stand-alone).

Niveau mécanique de jeu, on est plus dans le bourrinage facon Left 4 Dead/Dead Rising 2 en jeu de plateau avec des survivants qui commencent la partie avec une poêle et finissent généralement armés jusqu’aux dents. (double uzis, tronçonneuse, shotgun, etc…)

Il s’agit ici d’un jeu à scénarios car il ne s’agit pas à chaque partie de juste massacrer du zombie et survivre. Ça peut être le cas mais il s’agit parfois de retrouver de la nourriture, arriver à un point de sortie, tuer un zombie précis, … les designers du jeu l’ont rendu assez modulaire pour que les joueurs puissent créer leur propres scénarios (ceux-ci abondent d’ailleurs sur le site officiel du jeu).
Chaque survivant a ses propres caractéristiques et évoluent différemment avec leur propre spécialités (comme Doug le dingue des doubles armes, Ned le sniper débrouillard ou Wanda l’éclaireuse ultra rapide).
Si vous êtes un maniaque du contrôle évité aussi ce jeu car on doit lancer beaucoup de dés et les résultats de ceux-ci peuvent être bien désastreux.

Zombicide est un jeu nerveux, tendu où la coopération entre les différents joueurs est de mise (et parfois même le sacrifice 🙂 ), ici pas question de se faire des coups tordus (bien que ça va arriver avec la saison 3 apparemment). Si vous cherchez un bon jeu de zombie sans prise de tête, immersif avec du matériel de qualité (y a quand même 71 figurines)  et que si vous accrochez vous pourrez rapidement agrandir votre surface de jeu avec la saison 2 (Prison Outbreak) et la première extension (Toxic City Mall).

Maintenant c’est vrai qu’il vous faudra payer pour un des boites de base (saison 1 ou saison 2 par lequel vous pouvez commencer indifféremment) entre 60 et 70 € mais, si vous le sortez souvent c’est vite rentabilisé, sachant qu’un scénario vous tiendra entre 1h et 4h de jeu, et puis c’est parfait pour Halloween 🙂

Passer des jeux de société (classique) à leur pendant plus « moderne »

Comme pour beaucoup de hobbies, ce que la plupart des gens connaissent n’est généralement que la face immergée de l’iceberg. Dans mon cas que ce soit en musique ou jeux de société, je pourrais parler des heures sur des jeux ou des groupes dont 90% des gens n’ont jamais entendu parler, Et c’est surement mon cas pour les hobbies d’autres personnes (pêche, jardinage, foot, basket, peinture, etc…) car il y a tant à connaitre qu’il est impossible de ne serait-ce qu’égratigner le coeur de toutes ces occupations dans une vie.

Donc juste pour apporter ma pierre à l’édifice, je voulais vous présenter une série de jeux « classques » connus par la plupart des personnes et leur pendant plus « moderne »/spécialisé.

Cluedo : tout le monde connait ce jeu d’enquête où on doit former des hypothèses pour retrouver le coupable, l’arme et le lieu d’un crime en déplaçant des pions représentants les suspects dans le manoir du meurtre.
Je vous présente « Lady Alice », même principe que le précédant (le Dr Livingstone a été enlevé et aidé les franc-tireurs de Bakers Street à découvrir qui, où, quand et quel indice il a laissé.) mais à tout cela se rajoute tout un système de bluff qui permet de dynamiser le jeu et d’envoyer ses concurrents avec joie sur de fausses pistes.

Bingo / Lotto : Tout le monde reçoit un certain nombres de cartes avec des nombres qui seront completé lorsque le nombre en question sera tiré par l’annonceur. Pas hyper sexy hein ?
Je vous présente Augustus : Chaque participant reçoit 5 cartes objectifs sur lesquels apparaissent une série de symboles, symbole qui sont tirés un par un par l’annonceur. Complète un objectif peut avoir plusieurs effets -> simplement gagner des points (fixe ou selon les symboles présents sur les cartes complétées), obligé les autres joueurs à retirer des troupes de leur objectif en cours ou complétés. Sur son concept calqué sur le bingo, Augustus a beaucoup plus stratégique qu’il ne parait, puis le thème Rome Antique n’est pas pour déplaire 🙂

Monopoly : Tout le monde y a joué au moins au fois à ce fameux jeu où on fait le tour du plateau à en perdre la tête jusqu’à les deux tenants au titre pour le monopole des hôtels et aux autres maisons se ruinent l’un l’autre.
Ici, je n’ai pas vraiment trouver d’équivalent basé sur le même principe de base mais je vous propose de regarder du coté de tous les jeux de gestion/construction qu’ils existent.
Je vous présente Catane (ou les colons de Catane) où vous devez gérer vos colons et leurs ressources et où le gagnant est celui qui a atteint un certain palier de points de construction. Chaque tour, le joueur lance deux D6 qui définissent quel partie de l’île fournira des ressources (de fait, se mettre sur une « tuile » 12 rapporte moins souvent de ressource) et puis construire route, village et bâtiments spéciaux ou chevaliers pour faire fuir les voleurs.
Le commerce/négociation a aussi un part important dans ce jeu car généralement tout les monde ne produira pas les même ressources (laine, blé, bois, pierre) et donc des échanges entre joueurs ou vers l’extérieur de l’île sera un bon moyen d’avancer dans le jeu.

Voilà, déjà quelques idées pour ceux qui souhaiteraient se lancer

King Of Tokyo – Richard Garfield – Iello

King of Tokyo est un bon petit jeu simple de baston entre différents monstres venu ravagé Tokyo et se montrer les uns les autres qui est le boss…
Niveaux monstres, on retrouve entres autres King Kong, Godzilla…

Chacun son tour, les monstres vont se mettre des baffes, se soigner, gagner de l’énergie ou des points de victoire grâce à des jets de dés spécifiques au jeu.
Je considère King of Tokyo comme un bon petit jeu d’apéro ou de fin de soirée où la chance a une bonne part mais où avoir une bonne stratégie aide beaucoup. Savoir quand utiliser quel dé, quand presser la chance ou quel cartes de pouvoirs achetés (et oui, car on peut aussi acheter des pouvoirs très diversifiés à son monstre.

Un simple jeu à sortir de 3 à 6 personnes à table, pas trop dérangé par les jets de dés et par le fait de mettre sur la g**** (mais bon c’est peut-être ce que vous cherchez 🙂 ). Dommage toute fois que les monstres éliminés en premier doivent attendre la fin de la partie.

Une extension existe actuellement mais je vous parlerais une autre fois 🙂

Avis basé sur :

King of Tokyo de Richard Garfield édité par Iello en 2011

Trajan – Stefan Feld – Ammonit Spiel / Huch and friends

Trajan, si vous ne le savez pas encore, a été un empereur romain qui a mené beaucoup de guerres à l’Orient de l’empire romain (en dacie, Arménie et Arabie entre autres), il a également laissé beaucoup de monuments comme la fameuse colonne trajanne à Rome. Notre but des joueurs est d’affermir sa puissance en tant que sénateur, tant que l’empire est stable et florissant, en tirant les ficelles au sénat, en faisant des discours au forum, en construisant de nouveaux bâtiments ou des monuments à Rome, en faisant du commerce ou en faisant avec de nouvelles conquêtes.

Comment ces actions sont effectués ? le coeur de la mécanique du jeu est basé sur un système de l’awalé qui peut permettre des combos action après action qui vous permettront de gagner les précieux points de victoire nécessaire à ce style de jeu, Mais n’oubliez pas les désirs du peuple qui seront révélés au fur et à mesure que le jeu avance.

Trajan est sans nul doute un gros jeu, non qu’il soit très complexe mais il a beaucoup de profondeur au vu des multitudes d’actions et de stratégies possibles. Beaucoup lui reproche l’austérité de son plateau central mais personnellement je le trouve clair et bien dans le concept, même si il faut avouer que graphiquement ce n’est pas la panacée et que les conquêtes se font en Gaule, Germanie et Bretagne au lieu de de l’Orient.
Au début, on peut être désorienté par la foultitude de possibilités et il faut attraper le truc de pouvoir prévoir à l’avance le déclenchement de ces pions dans les bols de l’awalé, mais on se prends rapidement à la course au pouvoir (et donc au point de victoire) et on esquisse toujours un grand sourire (intérieur ou non 🙂 ) lorsqu’on avance subitement de 15 points.

Je le conseille vivement au fan de jeu de gestion à l’allemand, même si il faut avouer que le thème n’est pas très présent.

Cette avis est basé sur :

Trajan de Stefan Feld édité par Ammonit Spiel/Huch ‘n’ Friends en 2011

Panic Lab – Dominique Ehrhard – Gigamic

Publié chez Gigamic et inventé par Dominque Ehrard, ce petit jeu au look de party game est loin d’en être un. Pour résumé les règles, des amibes se sont évadés de labo de recherche et il faut retrouver la bonne amide malgré ses différentes mutations et fuites dans les circuits de ventilations, le premier joueur à mettre la main sur la bonne amide gagne la manche.
Malgré les indications sur la boite parlant de jouer de 2 à 10 personnes, je ne conseille pas de le sortir lors d’une soirée « fun » car les plupart des personnes voudront pouvoir accéder à toutes les amibes facilement. Je l’ai proposé lors d’une soirée à 6 personnes et nous n’y avons pas joué car des personnes râlaient qu’ils ne pouvaient pas accéder à tout, de plus ce jeu est un vrai casse-tête qui fait travailler les méninges. Personnellement ça ne me dérange pas même je ne suis pas forcément bon mais selon l’état de fatigue et l’état d’esprit des gens cela peut mal passer ou non. Actuellement nous avons avons joué quelques parties à 3 et cela c’est plutôt bien passé.

En conclusion, un bon petit jeu (+- 15 minutes la partie) qui donne l’occasion de décrasser les méninges mais ne pas sortir en toute occasion.

Avis basé sur :

Panic Lab de Dominque Ehrhard édité par Gigamic en 2011

Bienvenue,

Après quelques semaines d’indécisions, j’ai décidé d’ouvrir ce blog pour pouvoir écrirer des posts sur mes réflexions, des critiques de jeux de société entre autres.

@ bientôt !